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1.
Médecine et Maladies Infectieuses Formation ; 2(2):S64-S64, 2023.
Article in French | EuropePMC | ID: covidwho-2321598

ABSTRACT

Introduction Depuis le déclenchement de la pandémie Covid-19 déclarée par l'Organisation Mondiale de la Santé le 11 mars 2019, le monde a adopté des mesures préventives visant à affaiblir la chaine de transmission interhumaine. Toutefois, des pics de contamination ont été observé le long des deux dernières années, le plus récent étant celui de la saison hivernale 2021 avec la nouvelle variante B.1.1.529 Omicron désignée préoccupante à cause de sa haute transmissibilité et son échappement au spectre d'anticorps neutralisants. Matériels et méthodes Il s'agit d'une étude prospective descriptive sur une période de 03 mois de décembre 2021 au février 2022 ayant comme objectif de mettre le point sur l'émergence du nouveau variant Omicron Résultats L'ensemble des tests diagnostiques réalisés ont révélé 5442 cas positifs, dont 77% était par RT-PCR constitués de 96% de souches Sdrop positives dont 179 ont été hospitalisé correspondant à 5,36 %, toutefois le taux moyen d'hospitalisation toute souche confondue était de 5.81%. 57 % de l'ensemble des patients hospitalisés avait un statut non conforme au protocole de vaccination anti-COVID-19, ce même statut vaccinal s'estimait à 66% pour les patients admis en réanimation dont l'âge moyen était de 72 ans, alors que des facteurs de gravité ont été retrouvé chez 94% parmi eux. Le taux de létalité étant de 1,3%, un pic de décès a été enregistré en fin janvier 2022, avec un délai d'aggravation clinique et paraclinique entre 10-15 jours. Conclusion Au terme de cette étude et en comparant avec les deux vagues précédente Alpha et Delta, la 3ème vague Omicron s'est distinguée en termes de temps par une durée plus courte de 8 semaines, un nombre de cas positif moins important, et un taux d'admission en réanimation n'excédant pas les 1,9 % par rapport à 3% durant la vague Delta. Aucun lien d'intérêt

2.
2021 International Congress on Health Vigilance, VIGISAN 2021 ; 319, 2021.
Article in English | Scopus | ID: covidwho-2221988

ABSTRACT

The outbreak of COVID-19 still represents a real risk for the increased death rate for the whole of human kind. In this context, the present research work aims at describing evolutionary data in a population of hospitalized COVID-19 positive patients based on selected epidemiological, clinical and paraclinical data at admission. In this cross-sectional study, we examined the data obtained from 108 patients hospitalized with COVID-19 in the VINCI clinic, Casablanca (Morocco) between August and September 2020. General characteristic, clinical, radiological and biological data as well as therapeutic management were assessed. The patients' median age was 45-50 years old. Among our studied patients, 4.6% were transferred to the intensive care unit (ICU), 16.7% were cured after more than 15 days, while 78.7% were cured within 15 days. Those transferred to the ICU unit were either smokers, obese, or over 65 years of age. The majority of patients with normal radiological and cardiac parameters were cured within<15 days, while biological disorders were observed in approximately all cases that were transferred to ICU. Regarding therapeutic treatment, 98.1% of the subjects were treated with hydroxychloroquine + azithromycin in combination with vitamin C and zinc supplementation. The study shows that the minimal healing time is well conditioned by the general and clinical characteristics of patients. Furthermore, the administration of hydroxychloroquine + azithromycin showed a beneficial effect with no associated adverse effects in the study cases. © The Authors, published by EDP Sciences. This is an open access article distributed under the terms of the Creative Commons Attribution License 4.0 (http://creativecommons.org/licenses/by/4.0/)

3.
Clin Lab ; 68(10)2022 Oct 01.
Article in English | MEDLINE | ID: covidwho-2080868

ABSTRACT

BACKGROUND: COVID-19 is a true global pandemic since March 2020, and it is responsible in the majority of patients mild symptoms; however, a small number of patients progress to the severe form with acute respiratory distress syndrome (ARDS) and some of them progress to the very severe form which can be fatal when it comes to multiorgan failure. Thus, it is important to identify as early as possible patients at high risk of progressing to severe forms requiring early and specialized management in order to reduce mortality. METHODS: Our five-month retrospective study (May 2020 - October 2020) included 300 SARS-CoV-2 patients confirmed by RT-PCR and hospitalized in the Infectious and Tropical Diseases Center (CMIT), and in the Intensive Care Unit of the Military Hospital of instructions Mohamed V of Rabat (Morocco). Our objective was to compare the levels of C-reactive protein (CRP), ferritin, and procalcitonin (PCT) according to the clinical state and prog-nosis of patients. RESULTS: In our series of results, very significantly elevated levels of C-reactive protein, ferritin, and procalcitonin were associated with severe and very severe forms of COVID-19 disease as well as a poor prognosis. CONCLUSIONS: In the absence of international recommendations, the validation of clinical-biological scores involving different biological parameters in COVID-19 patients would allow a standardization of practices, a correct prescription of biological analyses and a risk stratification allowing to palliate the lack of medical resources and thus to reduce mortality.


Subject(s)
COVID-19 , C-Reactive Protein/analysis , Ferritins , Humans , Procalcitonin , Retrospective Studies , SARS-CoV-2
4.
Nutrition Clinique et Metabolisme ; 35(1):37-37, 2021.
Article in French | Academic Search Complete | ID: covidwho-1188925

ABSTRACT

L'épidémie de coronavirus-2 du syndrome respiratoire aigu sévère (SRAS-CoV-2), à l'origine de la maladie à coronavirus 2019 (COVID-19), présente une menace importante et urgente pour la santé mondiale. Cette infection virale alarmante, déclarée pandémique par l'OMS en février 2020, a entraîné des millions de patients infectés et des milliers de morts dans le monde. Au Maroc, malgré les efforts fournis par les autorités, le SRAS-CoV-2 continue de se propager et constitue un fardeau de morbidité et de mortalité. L'objectif de cette étude est de décrire les caractéristiques cliniques des patients marocains COVID-19 et d'établir la relation entre des symptômes cliniques spécifiques, à savoir l'agueusie et/ou l'anosmie, avec ces caractéristiques. Nous avons réalisé une étude transversale descriptive et non interventionnelle analysant les données de 108 patients admis à la clinique VINCI, Casablanca (Maroc). La base de données porte sur 39 paramètres comprenant des caractéristiques épidémiologiques, des mesures anthropométriques et des analyses biologiques. La moyenne d'âge des patients était de 43,35 ± 15,75 ans avec une sex-ratio de 1 :1. L'indice de masse corporelle moyen des patients était de 25,54 ± 4,66 kg/m2. La majorité des patients présentaient au moins une comorbidité et parmi les 75 % des cas symptomatiques, environ 50 % présentaient au moins trois symptômes à savoir : fièvre (40,7 %), toux (39,8 %), myalgie (28,7 %) et anosmie et/ou agueusie (20,4 %). À partir des analyses biologiques, nous avons remarqué une lymphopénie et une élévation des taux de protéine C réactive et du lactate déshydrogénases chez 24,1 %, 36,1 % et 35,2 % des sujets, respectivement. Une perturbation des marqueurs de la fonction hépatique a été observée dans 15,7 % des cas. Pour les autres paramètres d'hémostase, des taux élevés de prothrombine et de plaquettes ont été rapportés respectivement chez 14,6 % et 14,8 % des patients. Les comparaisons liées à la présence d'anosmie et/ou d'agueusie n'ont pas montré de différence pour les caractéristiques démographiques et anthropométriques, alors qu'une possibilité de différence significative a été révélée pour certains paramètres biologiques, en particulier les taux de lymphocytes, de D-dimère et de troponine. Cette étude fournit des résultats significatifs qui seront utilisés non seulement pour compléter les études précédentes menées au Maroc afin de reprendre la situation épidémiologique par rapport à d'autres pays, mais aussi pour améliorer la qualité du diagnostic des patients COVID-19 en identifiant tous les symptômes de la maladie et pour une meilleure compréhension de ses résultats cliniques. [ABSTRACT FROM AUTHOR] Copyright of Nutrition Clinique et Metabolisme is the property of Elsevier B.V. and its content may not be copied or emailed to multiple sites or posted to a listserv without the copyright holder's express written permission. However, users may print, download, or email articles for individual use. This abstract may be abridged. No warranty is given about the accuracy of the copy. Users should refer to the original published version of the material for the full abstract. (Copyright applies to all Abstracts.)

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